Tu te donne des excuses,
c'est l'ascension de ta dérision.
Tu laisses les apparences te porter. Loin.
Jusqu'à l'autre rive, de là tu vois
Tu ne vis pas.
Tu observes le spectacle de l'île flottante
et les toits de te tes rêves.
Au-dessus, tu t'y crois,
mais en-dessous tu resteras,
englouti par les eaux troubles.
Et tu continues, tu continues.
Tu continues d'admirer le mirage de ton éternité.
Figé
mardi, avril 27
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