mercredi, avril 27

C'est du vent ce que tu dis !


J’ai oublié
où je voulais en venir
quand t’es partit

. . . . . . . . 

Poupée-russe
       dans l’infini des possibilités
il y a un infini 
d’échoués

. . . . . . . . . . . . . 

Les amoncèlements finissent souvent par s’effondrer sur eux-mêmes;
Je suis un amoncèlement d’effondrés

. . . . . . . . . . . . . . . . . . 


 J’habite dans les aléas de ton corps

 et
Je m'abime à tes yeux creux
Amour

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 

Te savoir pendu à ma bouche me donne le sourire aux lèvres

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 

À court de temps tendre 
se raidir 
contre l'autre







1 commentaire:

  1. Anonyme14.5.11

    t'ai-je déjà dit que j'adore ce que t'écris ? (mi)

    RépondreSupprimer