J’ai oublié
où je voulais en venir 
quand t’es partit
. . . . . . . .
Poupée-russe
. . . . . . . .
Poupée-russe
       dans l’infini des possibilités 
il y a un infini  
d’échoués 
. . . . . . . . . . . . .
Les amoncèlements finissent souvent par s’effondrer sur eux-mêmes;
 Je suis un amoncèlement d’effondrés
. . . . . . . . . . . . . . . . . .
 
 
. . . . . . . . . . . . . . . . . .
 J’habite dans les aléas de ton corps
        et
Je m'abime à tes yeux creux 
Amour
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .  
Te savoir pendu à ma bouche me donne le sourire aux lèvres
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 
À court de temps tendre 
se raidir 
contre l'autre

t'ai-je déjà dit que j'adore ce que t'écris ? (mi)
RépondreSupprimer